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Vidéos à gogo

mardi 1er février 2022

Les jalons permettant de traverser la thématique abordée lors de notre atelier :

Télécharger des vidéos depuis Youtube
 Nous utiliserons la solution de facilité : se rendre sur la page des extensions de Firefox et taper « Vidéo Youtube » pour installer - à vos risques et périls - une extension spécifique pour récupérer des vidéos sur Toutube.

Télécharger des vidéos depuis Facebook
 Nous utiliserons la solution de facilité : se rendre sur la page des extensions de Firefox et taper « Vidéo Facebook » pour installer - à vos risques et périls - une extension spécifique pour récupérer des vidéos sur Facebook.

Précisons, toutefois, pour être honnête, que vous trouverez sur le web d’autres méthodes vous permettant de télécharger des vidéos depuis ces plateformes sans installer d’extensions à votre navigateur, par exemple :

 Comment télécharger une vidéo depuis Facebook (numerama.com)

 Comment télécharger des vidéos de YouTube (fr.wikihow.com)

Télécharger des vidéos depuis Peertube
 Nous fournirons une petite explication sur le système pair à pair de partage de vidéo non centralisé et non intrusif Peertube (joinpeertube.org)
 Nous utiliserons la solution de simplicité en passant par le moteur de recherche Sepia Search et non constaterons qu’il n’y a aucune impossibilité technique rédhibitoire empêchant de récupérer une vidéo en ligne. Nous l’avons fait depuis une instance de Peertube, d’un seul clic de souris et sans installer la moindre extension.

Il n’y a aucune impossibilité technique rédhibitoire, mais encore faut-il que la fonctionnalité soit disponible.

Ceci nous conduisit donc à nous demander pourquoi, sur les réseaux sociaux, cette fonctionnalité d’enregistrement des vidéos, d’un clic de souris, n’était pas disponible.

En guise de réponse à cette question, j’ai proposé d’inverser la question : quelles seraient les raisons pour lesquelles les réseaux sociaux nous faciliteraient la tâche pour copier simplement du contenu disponible sur leur plateformes, et donc nous permettre - en partie - de nous passer d’eux, alors que tout leur modèle économique repose sur l’incitation à rester le plus longtemps possible captifs de leurs « services » ?

De là, nous avons évoqué ce qu’il est courant de dénommer « l’économie de l’attention » (franceculture.fr)

 

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