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CCleaner

samedi 25 mai 2013

En préambule

Vous savez utiliser un navigateur Internet et un moteur de recherche.
Vous avez lu, par exemple, ce support concernant le téléchargement de programme.
Vous savez désormais « exécuter en tant que » pour installer un programme.

Vous devriez donc pouvoir télécharger et installer CCleaner.

CCleaner est un freeware qui peut vous aider à compléter les tâches de maintenance de votre système. Grosso modo, il vous permet surtout de corriger certaines erreurs qui s’intègrent inévitablement dans le registre de Windows : DLL manquantes, entrées erronées, traces de programmes mal désinstallés, etc.

C’est également une alternative à l’utilitaire de configuration système si vous souhaitez supprimer certains programmes lancés au démarrage (voir support).

Bref, vous avez tout intérêt à vous équiper d’un utilitaire « nettoyeur » de ce type. CCleaner, n’est pas le seul de sa catégorie. A titre indicatif, vous pouvez également, rechercher, télécharger et tester les programmes suivants :

 RegSeeker

 Jv16 PowerTools

Faîtes donc régulièrement une analyse avec l’un de ces programmes (par exemple, une fois tous les deux mois, si vous utilisez quotidiennement votre ordinateur).

Le but de la manœuvre étant de vous permettre d’avoir un système plus véloce, car les erreurs du registre ou autre processus non contrôlés se traduisent généralement par une baisse de performance de Windows, notamment lors du démarrage.

Pour autant, il serait vain d’attendre de ces outils, qu’ils vous permettent d’un clic de souris de restituer un système totalement régénéré et nettoyé. Si vous êtes insidieusement rongé par quelques tendances obsessionnelles hygiénistes, vous serez certainement comblés avec Windows : le registre est une magnifique usine à gaz. A moins que vous n’utilisiez jamais votre ordinateur, il est tout à fait normal qu’un tel système engendre structurellement quelques encrassements.

Les utilitaires « nettoyeurs » vous aideront à faire le ménage, mais c’est en adoptant régulièrement quelques habitudes simples, concernant la maintenance et la sécurité, que votre système vous donnera le meilleur rendement. Un nettoyeur du type CCleaner fait partie, ni plus ni moins, de ces quelques utilitaires de maintenance.

Il faut reconnaître que, du point de vue de la culture informatique, le fait d’être contraint de réinstaller complètement un système laissé à vau-l’eau est certainement mille fois plus formateur que d’effectuer régulièrement quelques petites tâches de contrôle et de routine.

Il n’en reste pas moins que, de ce que j’ai pu en juger concrètement, je constate que, mis à part le cas pathologique des informaticiens, rares sont les personnes qui apprécient l’expérience de la complète réinstal.

A cela, s’ajoute un second niveau d’observation : parmi ces mêmes personnes, contraintes à la réinstallation sauvage, encore plus rares, sont celles qui font elles-mêmes le boulot. On comprendra aisément que l’intérêt pédagogique de l’expérience sera complètement anéanti si la réinstallation est effectuée par un tiers (cas fréquent).

A cela s’ajoute, cette fois-ci, un point de vue : passée l’éventuelle excitation de la « première fois », les réinstallations suivantes ne vous en apprendront pas beaucoup plus, si ce n’est dans l’art de perdre son temps.

Donc, à vous de choisir.

Ultime recommandation préliminaire : surtout, n’oubliez pas qu’il faut systématiquement sauvegarder le registre avant de le corriger. CCleaner vous le proposera. Il suffit juste de bien se rappeler l’emplacement du système (le dossier) dans lequel ces sauvegardes sont enregistrées… c’est de tout cela dont il est maintenant question :

Lancer CCleanner

Il est préférable de fermer toutes les applications avant de lancer CCleaner, notamment les navigateurs Internet.

L’icône est donc sur le bureau :

Il faut savoir que CCleaner examine les paramètres de l’utilisateur actif, c’est-à-dire celui à partir duquel on le déclenche. Par conséquent, en double-cliquant sur l’icône, je demande donc à CCleaner de limiter l’analyse aux paramètres de ce seul utilisateur.

Dans l’exemple présentée sur cette page, la session active correspondant à un simple « utilisateur standard » (et non un administrateur) je décide de commencer l’analyse du profil administrateur.

Pour cela : clic droit, et « Exécuter en tant que … »

… l’administrateur.

Il faudra donc renouveler l’opération pour chaque compte utilisateur de l’ordinateur.

Voici à quoi ressemble CCleaner. A gauche, le menu vous présente les principales rubriques du programme :

Commençons par le « Nettoyeur ». Il s’agit de l’équivalent, plus perfectionné, de l’utilitaire « Nettoyage de disque » intégré à Windows (voir support). Après avoir sélectionné ce qui doit faire l’objet du nettoyage, je clique sur le bouton « Analyse » :

S’en suis alors une période de traitement pendant laquelle une jauge de progression indique le déroulement de l’analyse.

Une fois que l’analyse est terminée, le programme présente la liste des éléments « à supprimer ».

Cookies

On y retrouve, notamment, les cookies. Il s’agit de petits fichiers textes que certains sites web enregistrent sur l’ordinateur afin de garder en mémoire une information personnelle utilisable lors de consultations ultérieures.

Les cookies peuvent s’avérer utiles, pratiques, voire même indispensables pour consulter ou utiliser correctement certains sites. Par exemple, si vous administrez un blog ou si vous fréquentez régulièrement un site de commerce en ligne (du type Amazon), les cookies évitent d’avoir à vous identifier à chaque fois pour entrer sur votre espace privé (ce qui peut poser, par ailleurs, de gros problèmes de sécurité si votre système est insuffisamment protégé). Les cookies sont aussi parfois nécessaires pour remplir un formulaire administratif, commercial ou de service en ligne.

Le problème, c’est que les cookies peuvent donner lieu, de la part de Webmasters peu scrupuleux, à des détournements abusifs, qui auront pour effet d’installer des mouchards. Par exemple, on enregistre, à l’insu de l’utilisateur, des informations sur les sites visités de façon à pouvoir définir un profil de comportements. L’installation de ce type de cookies est donc, sans aucune ambigüité, un dispositif intrusif, malveillant, voire frauduleux (voir l’article de Comment ça marche sur les cookies).

Je vous recommande donc de purger les cookies, quitte à ce que vous soyez obligés de réinscrire ici ou là quelques identifiants ou mots de passe sur votre navigateur.

Remarquez que toutes les indications listées correspondent bien au compte admin ; cela signifie donc que le nettoyage que je m’apprête à effectuer ne concernera que les cookies et autres fichiers temporaires enregistrés sur ce compte. Preuve que le nettoyage doit être effectué pour chacun des comptes en usage sur le PC.

Je clique sur le bouton « Lancer le Nettoyage » (placé, en bas, à droite de la fenêtre).

Un message d’alerte me demande de confirmer cette action.

La jauge, à nouveau s’anime…

Puis on me confirme la fin du nettoyage avec une indication de ce type :

Registre

Passons, à présent à l’analyse du registre (deuxième icône du menu de gauche).

Ce fameux registre fait partie des composants essentiels de Windows. Sans rentrer dans les détails, sachez qu’il s’agit d’une énorme base de données qui rassemble un certains nombre de paramètres, notamment :

 le matériel et les applications installées sur l’ordinateur,

 les utilisateurs,

 les types de fichiers pris en charge par Windows.

Ainsi, donc, un certains nombre de paramètres du système sont stockés, par branches arborescentes, dans une organisation d’une impressionnante complexité.

Chacune des entrées du registre est désignée par une instruction générique HKEY suivie, par paliers arborescents (selon la convention usuelle en informatique), du chemin conduisant à la clé concernée.

Par exemple, la localisation dans le registre des paramètres généraux du programme FileZilla (téléchargement FTP) est indiquée de la façon suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\FileZilla

Les paramètres du même programme, mais, cette fois-ci, spécifiques à l’utilisateur courant (celui dont la session est active) sont stockés ici :

HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\FileZilla

Si le sujet vous intéresse, voici une sélection de liens externes qui vous permettront d’en savoir plus à propos du registre.

Le contenu de cette base de données est réactualisée en permanence, notamment lorsque vous installez des programme, mais aussi, pour certaines clés, à chaque redémarrage du système.

De plus, sachant que lors d’une installation de programme, des clés sont ajoutées à différents niveaux de l’arborescence du registre, il n’est pas rare qu’il y ait quelques déchets (clés orphelines, doublons, etc.) à la suite de désinstallations plus ou moins correctement effectuées.

Dans ces conditions, vous comprendrez aisément que cette base de registre soit l’objet, structurellement, d’une certaine instabilité et qu’il faille procéder, de temps à autre à un petit nettoyage.

CCleaner recense un certain nombre d’erreurs classique qui se produisent couramment sur le registre. :

Je clique sur le bouton « Rechercher des erreurs » (en bas à gauche)

CCleaner travaille et m’affiche déjà une liste d’erreurs (vue ci-dessous).

DLL

En particulier les « DLL manquantes ».

Les Dynamic Link Librairies (bibliothèque de lien dynamique) sont typiquement les causes de messages d’alerte à l’ouverture du système.

Il s’agit de fichiers partagés entre plusieurs applications, qui sont stockés une bonne fois pour toutes sur le disque dur. Cela permet d’économiser des ressources en mémoire vive, et surtout, de simplifier la tâche des développeurs de programmes (en leur permettant d’utiliser des fonctionnalités déjà installées sur le système). Pour plus d’information, à ce sujet, lire le site « Fichier DLL ».

Le problème, c’est que ce système peut connaître des ratés : suppressions accidentelle de DLL, voire installation d’une DLL liée à un logiciel malveillant supprimé.

Bref, selon les situations, il faudra réinstaller ou supprimer la DLL fautive (voir l’article de 01.net à ce sujet).

On peut considérer que, tant qu’aucun message d’alerte à ce sujet n’est signalé à l’ouverture de Windows, les « DLL manquantes » repérées par CCleaner sont en réalité des traces de programmes qui ont été désinstallés du système. N’étant, a priori, d’aucune utilité, on peut accepter la suppression de ces « DLL manquantes » en cliquant sur « Réparer les erreurs sélectionnées ».

Remarquez que vous pouvez décocher certaines de ces erreurs afin de les exclure du nettoyage ; ce qui peut être utile après restauration d’une ancienne version du registre :

Un message de confirmation vous sera alors envoyé. Il ne s’agit pas encore de valider le nettoyage, mais de sauvegarder votre base de registre.

Cela permettra, en cas de dysfonctionnement notoire, de restaurer votre version actuelle du registre : acceptez la sauvegarde.

Définissez très précisément un emplacement de votre système dans lequel vous enregistrez vos sauvegardes du registre.

Créez, de préférence, un dossier explicite, prévu à cet effet. L’idéal étant qu’il se trouve sur un autre support que votre système Windows, par exemple : une autre partition, un second disque dur interne, un disque dur externe, une clé USB…

Vous trouverez à la fin du présent support la marche à suivre, si vous devez restaurer une ancienne version du registre.

Une fois que vous avez sauvegardé le registre, vous pouvez passer à l’étape suivante. Cliquez sur ce bouton :

Une alerte de confirmation apparaît à nouveau.

Cette fois-ci c’est bien de la correction du registre dont il s’agit !

En cliquant sur « OK » vous verrez apparaître cet étrange effet de dislocation de type « code barre ». De quoi vous donner quelques sueurs froides, assurément.

Généralement, cela se passe assez bien. Si vous n’avez jamais utilisé CCleaner, il est probable que vos « applications sécurité » se manifestent pour vous demander votre accord sur l’exécution des modifications en cours.

Par exemple, ci-dessous, Kaspersky :

Puis, rapidement, la fenêtre se stabilise en se vidant. Le message d’alerte initial est toujours présent, mais, dans la partie inférieure, on vous indique que les erreurs sont réparées. Il ne reste plus qu’à fermer.

C’est fini pour le dégraissage du registre (n’oubliez pas : il ne faudra pas oublier de faire la même procédure pour les autres utilisateurs !).

Passons maintenant à la troisième rubrique « Outils ». En fait, il n’y a rien de vraiment nouveau par rapport à ce que nous avions déjà vu à propos de l’utilitaire de Windows (voir support).

CCleaner indique la liste des programmes installés et vous pouvez essayer de les désinstaller d’ici, au cas où vous n’y arriveriez pas depuis le panneau de configuration de Windows ou à partir du programme de désinstallation intégré au logiciel (lequel est généralement accessible depuis le menu démarrer).

Profitons-en pour jeter un œil (ci-dessous) sur la liste des correctifs de Windows, opéré via la mise à jour automatique. Impressionnant, n’est-ce pas ?

Ne supprimez surtout pas ces mises à jour.

Même si, réalisant que l’espace disponible de votre disque dur se réduit comme peau de chagrin, vous essayez de récupérer de l’espace, ne touchez pas aux MAJ de Windows.

Désinstallez d’autres programmes, transférez vos fichiers volumineux (vidéos, photos, etc.) sur un autre support (DVD, disque additionnel), modifiez les tailles de partition de vos disques (à l’aide d’un programme tel que Partition Magic), achetez un disque dur additionnel (interne ou externe), profitez-en donc pour installer Linux à la place de Windows, in fine, achetez un autre ordinateur, mais surtout, restez toujours avec un système à jour !

Nettoyer les applications lancées au démarrage

Restons sur la rubrique « Outils » et cliquons sur le bouton « Démarrage ». Nous retrouvons ici la fonctionnalité que nous avions vue avec MSCONFIG, à savoir le contrôle des applications lancées au démarrage de Windows.

Il serait possible, là aussi, de supprimer une entrée :

Ce qui ne manquerait pas d’occasionner l’apparition de message de confirmation ; celui de CCleaner, pour débuter.

Puis de l’anti-virus…

Et de l’anti-espion, à savoir, dans mon exemple, Sybot Searh & Destroy.

Une fois validée, la suppression est effective : le programme n’apparaît plus dans la liste et il ne devrait plus figurer dans le Systray au prochain démarrage de Windows.

Voilà, vous avez vu l’essentiel au sujet de CCleaner.

N’oubliez pas que le nettoyage doit être effectué pour chaque utilisateur et renouvelez l’opération périodiquement. Cela ne vous prendra que quelques minutes à chaque fois.

Restaurer le registre

Comme nous l’avons constaté, le « dégraissage » du registre de Windows est une procédure assez simple à effectuer dès lors qu’on fait appel à un utilitaire du type CCleaner. Il serait totalement erroné, pour autant, de considérez qu’il s’agit d’un acte anodin.

Le registre étant un composant essentiel du système et il peut arriver qu’à la suite d’un correctif un peu trop vigoureux, votre système soit déstabilisé. Il faudra alors envisager de restaurer une sauvegarde du registre.

Par conséquent, ce qui suit ne doit être effectué que s’il est absolument nécessaire de restaurer une ancienne version du registre, notamment après un correctif.

Si vous avez suivi la procédure, vous avez obligatoirement procédé à une sauvegarde du registre. Espérons qu’à ce moment-là, votre système était stable. Si tel n’était pas le cas, il faudra alors essayer de remonter dans le temps à l’aide de l’utilitaire de restauration système de Windows (voir support). Si, malgré cela, vous n’arrivez toujours pas à retrouver un système « propre », alors il va peut être falloir envisager une solution plus radicale :

 réparation du système à partir de la console de récupération à partir du DVD Windows d’origine

 voire, la grande purge, réinstallation complète de Windows (c’est généralement à ce moment qu’on regrette de ne pas avoir fait de sauvegardes).

Mais imaginons que vous aviez, avant correctif, un registre acceptable et que, malgré quelques dysfonctionnements, vous puissiez quand même afficher le bureau et ouvrir les applications.

Voici comment procéder pour restaurer le registre.

Cliquez sur le menu « Démarrer » puis sur « Exécuter… »

Dans le champ de l’invite de commande (la zone blanche) cliquez, tapez regedit et cliquez sur le bouton « OK ».

Vous voilà en présence de l’éditeur de registre de Windows ; de quoi vous dégoûter de l’informatique pour le restant de vos jours.

Des utilitaires, tels que CCleaner, vous évitent justement d’avoir à vous aventurer dans ce genre d’environnement particulièrement ingrat. Néanmoins, il n’est pas inutile de savoir que le registre peut être corrigé avec cette application … à vos risques et périls, d’ailleurs.

Soyez donc très prudent avec cet éditeur, vous pouvez anéantir votre ordi en un rien de temps !

Notez que certaines personnes, précisément, en raison de l’aspect « exploration en terrain hostile » bâtissent une fierté personnelle en s’infligeant la connaissance de la base de registre sur le bout des doigts. Sans allez jusque là, il faut reconnaître que cela peut être utile d’avoir quelques repères.

Profitons-en, donc, pour faire un petit tour d’horizon.

Vous avez là les 5 clés principales du registre de Windows :

 HKEY_CLASSES_ROOT, fait référence aux types de fichiers pris en charge par Windows. C’est à cet emplacement que sont définies les associations entre « type de fichiers » et « applications ».

 HKEY_CURRENT_USER, correspond, comme nous l’avons déjà vu, aux paramètres de l’utilisateur actif, celui « dont la session est ouverte ». C’est un sous-ensemble de la clé HKEY_USERS (voir plus bas).

 HKEY_LOCAL_MACHINE, que nous avons également évoquée, concerne les paramètres relatifs aux applications et au matériel installés sur le PC.

 HKEY_USERS, est prévue pour recenser les paramètres de tous les utilisateurs référencés sur le système.

 HKEY_CURRENT_CONFIG indique les paramètres de la configuration matérielle active, c’est un sous-ensemble de HKEY_LOCAL_MACHINE.

Voici un exemple de ce qui vous attend si vous commencez à déployer les clés du registre :

Pour plus d’information sur le registre :

 L’article de Wikipedia

 Le site le registre.fr

 L’article de Comment ça marche

Revenons, après cette brève incursion dans l’arborescence, à la procédure de restauration d’une ancienne version du registre.

Cliquez sur le menu « fichier », puis « Importer ». Je pars du principe, que, suivant ma précédente recommandation, vous avez bien mémorisé le dossier ou le lecteur dans lequel se trouvent vos sauvegardes.

Il est facile d’identifier les différentes versions. Regardez bien, on trouve les dates…

Celle-ci, par exemple a été effectuée le 12 mai 2008. Je clique sur cette version, puis sur « Ouvrir » ; ce qui réactualisera le registre dans cette ancienne version.

Si vous aviez sauvegardé plusieurs versions du registre, vous pouvez donc remonter dans le temps, jusqu’à ce l’obtention d’un système stabilisé.

Essayez ensuite, à partir de CCleaner, d’effectuer une correction sélective en décochant progressivement les erreurs repérées par le programme (retour à cette étape du support).

 

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