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Sauvegarde [1] : vue générale

mercredi 24 juin 2009

Il faut bien le reconnaître, la sauvegarde informatique est une procédure indispensable et ennuyeuse.

Indispensable, car tout système informatique, par définition, est instable. Que ce soit à cause d’un plantage logiciel, d’une panne matérielle, d’une intrusion malveillante ou d’une erreur de l’utilisateur, les risques de dysfonctionnement sont permanents. Il est donc nécessaire de copier, par sécurité, les fichiers « importants », en particulier les données personnelles. Ainsi, au cas où le système deviendrait totalement inutilisable (une situation qui doit être envisagée comme probable) il sera toujours possible de conserver l’usage de ces précieuses données afin, par exemple, de continuer à les traiter sur un autre ordinateur.

La sauvegarde est une activité ennuyeuse : c’est un simple constat. Si tel n’était pas le cas il n’y aurait pas autant d’utilisateurs (y compris des utilisateurs avertis) pratiquant une multitude d’activités sur leur ordinateur sans jamais faire la moindre sauvegarde.

Des logiciels tels que celui qui est présenté sur cette série de supports offrent l’avantage de pouvoir définir des tâches de sauvegarde afin qu’elles se lancent automatiquement. Grâce à ce type de programme, vous pourrez vous libérer l’esprit sans courir de risques inutiles concernant le devenir de vos données personnelles.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est indispensable de rappeler quelques points de repères, notamment par rapport à ce qui a été abordé lors des précédentes séances à propos de la distinction entre « archivage », « sauvegarde » et « synchronisation »).

Sauvegarde du système

Il existe de multiples outils dédiés à la sauvegarde du système. Pour Windows, par exemple, cela commence déjà par la création de points de restauration.

D’autres solutions complémentaires et plus sophistiquées, telles que la création d’images disques, peuvent être également employées pour restaurer rapidement Windows sans avoir à tout réinstaller. Pour cela, il faut faire appel à des logiciels spécialisés.

Les présents supports ne traitent pas de la question de la sauvegarde du système ; sans être totalement hors sujet, je considère qu’il s’agit d’une thématique distincte de ce qui nous intéresse ici.

Documents de travail : sauvegarde

Je pars du principe que vous n’avez pas acheté un ordinateur pour le simple plaisir d’administrer un système informatique. Dans ce cas, il est probable que vous utilisez des applications pour réaliser quelques travaux personnels et que vous effectuez des actions dont vous souhaitez conserver des traces. C’est de ce type de données dont il est question, ici, lorsque j’évoque les documents de travail.

Par exemple :

 la comptabilité ou le secrétariat d’une entreprise ou d’une association,

 la correspondance électronique personnelle,

 ses propres textes, dessins, compositions musicales, pages web, animations, etc.

Bref, tout ce que vous pouvez créer, éditer, modifier et « enregistrer sous » votre ordinateur.

Considérons que l’aspect évolutif (enregistrements successifs après modification) représente la principale caractéristique de ce type de données ; elles doivent être sauvegardées sous peine de devoir recommencer le travail, en cas de perte de l’original (dans certains cas, comme la messagerie, la perte peut même devenir définitive).

Si vous n’avez aucun « documents de travail » sur votre ordinateur, alors tout va bien : la sauvegarde, en ce qui vous concerne, devient une question de relativement anecdotique.

Fichiers en lecture seule : archiver

Un autre sort doit être réservé, de mon point de vue, aux fichiers que vous « consommez » sans les modifier. Il s’agit, par exemple de photos, de vidéos, de morceaux de musiques, de documentations et même de documents de travail que vous souhaitez archiver, car aucune modification n’y sera plus apportée (par exemple la compta d’une association dont vous n’êtes plus membre).

Si ces données en « lecture seule », sont stockées sur votre disque dur, au côté de vos documents de travail, il est tout autant indispensable d’en faire une copie de sécurité, pour les mêmes raisons que celles évoquées plus haut.

Mais il n’est pas nécessaire que ces fichiers « en lecture seule » soient sauvegardés à l’aide d’un utilitaire de sauvegarde, car tout l’intérêt de ce type de programme consiste à traiter des données évolutives, qui sont modifiées au fil des enregistrements successifs.

Réservez plutôt l’usage d’un logiciel de sauvegarde à vos « documents de travail » et gravez directement les données en « lecture seule » sur des supports optiques, en tant qu’archive (voir supports). Cela suffit largement. Du coup, vous réduirez la taille de vos sauvegardes.

Faites plusieurs copies de vos archives, si nécessaire, par sécurité. A priori toutes les copies seront rigoureusement identiques ; ce qui n’est pas le cas des sauvegardes de vos « documents de travail ».

A partir du moment où vous avez gravé ces fichiers « en lecture seule » sur disques optiques, vous êtes libéré d’un poids : si, par exemple, le disque dur de votre ordinateur est endommagé (ce qui n’est pas rare), vous en aurez au moins une copie sous la main.

Dès lors, le fait de garder ou non les originaux sur le disque dur n’a que peu de rapport avec notre sujet. Il ne s’agit plus d’un problème de préservation des données mais de gestion d’espace disponible sur le système. Peu importe que ces fichiers soit lus directement depuis le disque dur où à partir d’une copie sur CD ou DVD. Ils sont identiques.

Ce qui n’est pas, là non plus, le cas de vos « documents de travail ».

Quels supports pour la sauvegarde ?

Pour les mêmes raisons qu’il me semble important d’établir une distinction entre « sauvegarde – documents de travail » et « archivage – fichiers en lecture seule », je déconseille l’utilisation de disques optiques (CD ou DVD) comme unique moyen de sauvegarde.

J’ai constaté que, bien souvent, des stratégies de sauvegarde basées exclusivement sur l’usage de CD ou DVD aboutissent, dans la pratique, à l’abandon pur et simple de toute logique élémentaire de sécurité des données personnelles.

Le fait de graver, vérifier et classer des sauvegardes sur disques optiques demande un minimum de rigueur, de disponibilité et de sens pratique. Je constate qu’une telle discipline est difficile à mettre en œuvre, notamment dans des milieux peut familiarisés avec la culture informatique d’entreprise : des particuliers ou des petites structures (associations ou petites entreprises).

Cette observation me conduit à considérer que, pour de multiples raisons, les supports optiques (CD et DVD) sont, dans la pratique, des supports assez peu adaptés aux sauvegardes de documents de travail dans un cadre « non professionnel ».

C’est la raison pour laquelle je conseille, dans nos ateliers, d’utiliser de préférence d’autres types de supports : second disque dur interne, disque dur externe ou clé USB.

Même si, comme nous le verrons, le logiciel de sauvegarde permet d’automatiser les tâches, il est préférable de pouvoir glisser-déposer un dossier ou de le supprimer directement sur le support de sauvegarde, avec la même facilité que vous le feriez sur votre disque dur principal. Ces manipulations sont beaucoup plus lourdes, voire impossibles, à traiter avec un disque optique.

Toujours copier sur un autre « lecteur »

Il est vraisemblable que, lorsque vous travaillez sur fichier de traitement de texte, par exemple, ce dernier soit enregistré, comme la plupart de vos documents de travail, dans le dossier « Documents » de votre système, lequel se trouve, par défaut, dans le même lecteur que Windows (C :\).

Il faut savoir que ce lecteur est particulièrement exposé (usure du disque, attaques diverses, etc.). Comme nous l’avons vu, c’est précisément pour ces raisons qu’il est indispensable d’effectuer régulièrement des sauvegardes.

Cela signifie donc qu’il faut toujours sauvegarder les données vers un autre lecteur que celui où se trouvent les originaux.

Si vos données personnelles sont déjà stockées sur un « lecteur » distinct de celui de Windows (par exemple, une partition « Data »), il faudra alors effectuer vos sauvegardes vers un troisième lecteur (par exemple un disque dur externe ou une clé USB).

Usage exclusif du support

Dédiez ce support exclusivement à l’usage des sauvegardes : évitez de transporter votre « clé de sauvegarde » pour récupérer chez votre voisine le dernier Dardevil, tout chaud sortir des tuyaux.

Vérifiez régulièrement que ce support n’arrive pas à saturation.

Sauvegarde par Internet

Plusieurs solutions peuvent être envisagées pour sauvegarder vos données personnelles sur un serveur distant, en utilisant Internet. C’est une tendance assez nette : de plus en plus de services en ligne (gratuits ou payants) proposent, selon diverses formes et modalités, ce type de fonctionnalité.

Le but étant, outre la sauvegarde, de proposer un environnement de travail distant complet, comparable à celui de votre ordinateur (bureau, dossiers, applications, etc.) tout en ayant la possibilité de partager cet environnement avec d’autres utilisateurs.

Ces solutions ne sont pas encore aussi conviviales, intuitives et rapides que les applications « locales », mais il est probable qu’à court terme, les services en ligne s’imposeront de plus en plus comme des substituts crédibles en remplacement de programmes installés sur les ordinateurs personnels. On comprendra aisément que le fait d’expatrier des applications de sécurité en dehors de son environnement local (son ordinateur) représente indéniablement un certain nombre d’avantages pratiques ; il faut avoir conscience que cela peut signifier, également, une perte d’autonomie.

La présentation de ce type de service dépasse le thème de cette série de supports. Il n’en sera donc pas question ici mais nous y reviendrons prochainement.

Procédure de sauvegarde, schéma général

Afin de clarifier mon propos, il est nécessaire de préciser le sens de quelques termes qui seront employés, par convention, tout le long de ces supports.

En particulier, le fait de définir une tâche de sauvegarde, signifie qu’il faut au moins indiquer :

 Un dossier source, désignant ce qui doit être sauvegardé.

 Un dossier cible (ou un lecteur) vers lequel sera faite la copie.

On précise ensuite une périodicité, par exemple :

 Quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle ; puis l’heure.

 Aucune périodicité : la tâche sera exécutée à la demande.

Il existe diverses méthodes de sauvegardes :

 Complète : la totalité du « dossier source » sera à chaque fois copiée dans le « dossier cible ». C’est la solution la plus simple.

 Incrémentielle : le logiciel compare les dates de fichiers entre « dossier source » et « dossier cible » ; seul les éléments nouveaux seront copiés.

 Différentielle : le logiciel compare les fichiers entre « dossier source » et « dossier cible » ; seul les éléments différents seront copiés.

A propos des périodes

Il est probable que votre ordinateur soit déjà programmé pour lancer automatiquement un nombre de tâches qui s’exécutent à intervalles réguliers : mise à jour du système, analyse par l’antivirus, etc.

Si vous ajoutez, en plus, une ou plusieurs tâches de sauvegardes, cela vous oblige incontestablement à faire fonctionner très régulièrement votre ordinateur. De toute façon, on ne reviendra pas là-dessus : si le commerçant vous a vendu une machine en vous laissant entendre qu’il ne sera pratiquement jamais nécessaire de l’utiliser, vous pouvez y retourner en l’accusant d’escroc (mais néanmoins excellent commercial).

Ceci étant, évitez de lancer en même temps plusieurs tâches programmées ; ne serait-ce que pour économiser des ressources système. Vous pourriez également rencontrer des conflits entre applications. Dans le même ordre d’idée, il ne me viendrait pas à l’esprit, par exemple, de graver un DVD au même moment que se déroule une tâche de sauvegarde (même si cela est très certainement « possible »).

Sachez, par contre, que lors des procédures de sauvegarde, rien ne m’empêche de naviguer sur Internet ou sur mon système, de lire ou d’écrire des e-mails, d’échanger des Torrents, d’écouter de la musique, de retoucher des images, de rédiger un support pour ces pages …(et parfois tout ça en même temps). La seule restriction étant qu’il ne faut pas éditer des documents en court de sauvegarde.

Il est indispensable de programmer des tâches de sauvegarde sur des périodes pendant lesquelles l’ordinateur sera allumé. Oui, je sais, la remarque est stupide, mais j’insiste là-dessus : il faut vraiment être sûr que l’ordinateur sera opérationnel.

Il est même préférable de définir une période pendant laquelle l’ordinateur sera en fonctionnement pour un autre usage que la sauvegarde. C’est certainement le meilleur moyen pour qu’elle ne passe pas à la trappe. Dans ce cas, il faudra toutefois veiller à ne pas éditer les fichiers en cours de sauvegarde.

Vous désactiverez alors ponctuellement la tâche de sauvegarde s’il est avéré qu’elle pose réellement un problème ; par exemple, occupation trop importante des ressources système empêchant d’utiliser normalement l’ordinateur.

Au cas où il serait systématiquement impossible de faire fonctionner en même temps votre utilitaire de sauvegarde avec vos applications courantes, adoptez la stratégie classique en programmant vos tâches de sauvegarde pendant les « moment creux » (repas, sieste, apéro, vendredi après-midi, etc.).

Vous pouvez aussi désactiver ponctuellement une tâche de sauvegarde si vous constatez qu’il n’est pas nécessaire de la faire. Mieux vaut programmer une tâche, quitte à la bloquer ponctuellement, que de désactiver son lancement automatique en se disant qu’on peut toujours la lancer manuellement (mais oui, bien sûr…).

Si vous constatez que vous aviez prévu une périodicité inadaptée, vous pouvez sans difficulté modifier la fréquence de la tâche. En règle générale, évitez de désactiver le lancement automatique des tâches de sauvegarde. Vous perdriez l’un des principaux intérêts de ce type de programmes.

A propos des méthodes

Les méthodes incrémentielle et différentielle ne se justifient que si vous avez un volume important de données régulièrement actualisées. Tel est le cas, par exemple, de travaux dépendant d’une activité professionnelle. En évitant de recommencer, à chaque fois, la totalité de la sauvegarde, on économise du temps de traitement et de l’espace disque.

J’aurais plutôt tendance à préconiser, pour un particulier ou même une entreprise dont le métier ne consiste pas à traiter un volume important de données informatiques, à réaliser en priorité des sauvegardes complètes et de programmer cette tâche au moment le plus opportun (voir ci-dessus).

Il faut savoir que si vous devez restaurer vos fichiers à partir d’une sauvegarde incrémentielle ou différentielle, il vous faudra recomposer vos données en copiant d’abord la version complète, puis les versions successives complémentaires. Cela demande aussi plus de rigueur dans la gestion des fichiers. Ces méthodes de sauvegardes supposent que l’arborescence d’origine ne soit pas modifiée au fil des enregistrements successifs : on peut évidemment la compléter mais il est préférable de ne pas déplacer les fichiers, les supprimer ou les renommer.

Il est peut-être préférable de copier quatre ou cinq sauvegardes complètes et fiables au lieu d’un assemblage de données qui, une fois recomposé, vous donnera un ensemble plus ou moins cohérent (sauvegarde incrémentielle ou différentielle).

Rien ne vous empêche de définir plusieurs tâches de sauvegarde complètes correspondant à des dossiers sources distincts. Cela vous permet de ne pas avoir à traiter tout le contenu du disque dur à chaque fois. Chaque tâche sera alors définie selon une périodicité adaptée à la fréquence avec laquelle se renouvelle le contenu du « dossier source ». Par exemple, sur ce principe, vous pouvez sauvegarder complètement votre dossier images tous les trimestres et votre messagerie toutes les semaines.

Quelle que soit la solution retenue, il est nécessaire de définir régulièrement une sauvegarde complète du « dossier source ».

Mettez en place une logique de traitement que vous maîtrisez ; c’est, en fait, le plus important. Avant de définir des tâches sur la durée, n’hésitez pas à passer le temps nécessaire pour faire des essais sur plusieurs périodes et vérifiez, à chaque fois, l’état de vos sauvegardes.

Archiver périodiquement des états de sauvegardes

N’hésitez pas à graver périodiquement sur DVD (par exemple tous les six mois, si vous faites des sauvegardes mensuelles) le contenu de votre support de sauvegarde (le « dossier cible »).

Le fait de constituer des archives comportant plusieurs états cumulés de vos sauvegardes vous apportera une sécurité supplémentaire et vous pourrez libérer de la place sur votre dossier cible en supprimant (ou en programmant la suppression, par l’intermédiaire de votre utilitaire de sauvegarde), les sauvegardes les plus anciennes.

Conservez toujours au moins les trois dernières sauvegardes sur votre dossier cible.

Quelques conseils pratiques

Attention aux risques engendrés par la démultiplication des versions différentes de mêmes fichiers sur votre système.

Ceci est d’autant plus important, si votre « dossier cible » se trouve sur un autre disque dur ou sur une clé USB : il est extrêmement facile de modifier la version « sauvegardée » à la place de « l’original »… et là, ça peut rapidement dégénérer, au point que vous ne sachiez plus où se trouve exactement la version « valide ».

Il est donc extrêmement important de s’en tenir rigoureusement à quelques règles simples :

 Il ne doit y avoir sur le système qu’une seule version « valide » d’un fichier donné. Vous n’avez rien à craindre, puisque vous avez fait des sauvegardes ! Ce fichier « valide » correspond à « l’original », c’est-à-dire le fichier qui doit être édité et que vous pouvez modifier ; il est obligatoirement localisé dans le « dossier source », a priori, sur le disque dur qui comporte vos documents de travail (par exemple, dans le dossier « Documents » ou dans votre partition « Data »).

 Evitez d’ouvrir les fichiers sauvegardés et ne les modifiez jamais s’ils se trouvent dans le dossier cible (sauf, éventuellement pour vérifier qu’ils ont été correctement copiés).

 Soyez vigilant, lorsque vous éditez un fichier : observez très précisément son adresse complète, afin de vérifier qu’il ne s’agit pas d’une version sauvegardée. Attention aux listes des fichiers « récemment ouverts » disponibles depuis vos applications (j’ai supprimé cette fonctionnalité, par exemple, en salle 301).

 Définissez une logique de nommage de fichier claire : évitez, par exemple de changer le nom d’un fichier en cours de traitement (attention aux « enregistrer sous »). Cela risque de compromettre l’intégrité de votre sauvegarde, surtout si vous avez opté pour une méthode incrémentielle ou différentielle.

 Evitez de créer des doublons : des fichiers qui portent exactement le même nom, mais dont les contenus sont différents, placés à différents niveaux d’arborescence du dossier source.

 Réfléchissez bien à la logique selon laquelle vous devez organiser vos dossiers. Par exemple, pour une association, faut-il créer à la racine une arborescence par année, dans laquelle seront systématiquement stockées différentes thématiques (courriers, compta, convocations aux AG, statuts, etc.) ou l’inverse ? Il n’y a pas de réponse définitive sur la question. C’est à vous de déterminer la logique qui vous semble la plus pertinente, compte tenu du fait qu’il est nécessaire de générer à la fois des sauvegardes, puis des archives cohérentes.

Prochain support : installer et paramétrer Cobian.

 

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