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Tableau simple (OOoW)

mardi 4 janvier 2011

Le tableau des activités informatiques du centre culturel, tel qu’il était établi en septembre 2008.

Vous savez – a priori - réaliser un tableau sur votre traitement de texte, il n’y a donc rien de bien sorcier dans cette affaire-là.

Si, toutefois, vous êtes encore quelque peu hésitant, ce long tuto devrait normalement vous mettre en confiance. Toutes les étapes de mise en route d’un tableau, y compris certaines situations délicates qu’il est fréquent de rencontrer dans ce contexte, y sont détaillées.

Vous trouverez les modèles dans différents formats, en annexe de la présente page.

Pour information, le même modèle est également utilisé pour l’atelier tableur.

Voici quelques images, réalisées à partir d’une mise en situation sur OpenOffice ; vous ne devriez avoir aucune difficulté à l’adapter sur Word :

Il faut commencer par modifier les options sur mise en page (sur Word, passez par le menu « Fichier ») :

Passez en disposition « paysage » :

Saisie du titre :

Modification des options de mise en forme. On commence par les options de paragraphe :

Puis on modifie la police :

Voilà pour le titre.

Passons au tableau. Nouveau paragraphe

Menu « Tableau ».

Mieux vaut savoir combien de lignes, combien de colonnes…

Je modifie la largeur de la première colonne :

Sélection des trois dernières colonnes + clic droit + …

on n’y voit rien !

Détail, donc sur le menu contextuel : là, en cliquant sur « Espace équilibré », je demande de répartir la largeur disponible de façon égale sur les trois colonnes sélectionnées.

Bah voilà :

Tant qu’on en est aux étapes de préparation des espaces, profitons-en pour modifier la hauteur de la première ligne, bien que cela ne soit pas absolument indispensable :

Allez, je commence à taper :

Là vous ne voyez pas toutes les cellules, mais j’ai tapé tout le texte de la première ligne. Je la sélectionne …

… par simple clic.

Afin de centrer verticalement le texte dans les cellules :

Avant de taper le contenu de la première colonne, je préfère mettre en forme correctement les cellules.

Je sélectionne donc la colonne pour aligner les paragraphes à gauche et modifier la police :

Et je commence à saisir le texte (ici, vous constatez que j’ai aligné à gauche) :

Le traitement de texte propose de compléter la saisie alors que je n’ai pas terminé le taper le mot. Il suffit de valider la proposition en appuyant sur la touche « Entrée » du clavier. C’est le principe de l’auto complétion appliqué, dans ce cas, sur les insertions automatiques (nous y reviendrons).

Tiens, on se rend compte que le corps du texte est trop important : regardez, la ligne « Mercedi 17 h 30 * » passe sur deux lignes :

Je sélectionne la colonne et je réduis la taille du texte :

Puis, je rétablis une meilleure lisibilité en passant ce texte de corps 10 en gras :

La colonne de gauche est bouclée.

Il est temps de passer aux autres. Mais, là encore, je décide de paramétrer les options de mise en forme avant de taper. Pour cela, je sélectionne toutes les cellules de cette partie du tableau :

Alignement général à gauche. Et hop :

Arial ?

Oui

Corps 12 ?

Oui

Gras ?

Oui

Italique ?

Oui

A priori, vous savez mettre en forme votre texte.

Alors, allons-y pour la saisie :

N’oubliez pas que vous pouvez passer d’une colonne à l’autre en utilisant la touche « tab » du clavier.

Vous pouvez utiliser le copier-coller (ou le glisser-déposer + CTRL) ce qui vous évite de taper plusieurs fois la même chose (par exemple : Traitement de texte niveau 1 et Traitement de texte niveau 2).

Bref, vous devriez arriver à un résultat proche de ceci :

Et voilà que subitement, une évidence s’impose à moi : les lignes de ce tableau pourraient être un peu plus larges. Trouvez pas ?

J’ai bien dit les lignes, donc il ne peut s’agir que de la hauteur des cellules ; nous sommes d’accord ?

Je sélectionne donc toutes ces lignes puis par un clic droit de la souris...

on n’y voit encore rien !!

Détail sur le menu contextuel : « Ligne / Hauteur… »

Allez : 8 millimètres ½

Cela donne un peu de respiration au tableau, tout en restant sur une seule page. C’est parfait.

Et maintenant, attention : il est temps de fusionner !

Je sélectionne ces trois cellules…

… puis je clique sur ce bouton ad hoc ès fusion, ou un quelconque machin qui permet de transformer trois cellules sélectionnées en une seule.

C’est fusionné. Passons au fond coloré.

Tout en conservant la sélection, je clique sur la palette dont le bouton représente un pot de peinture. Je choisis cette couleur (libre à vous de choisir une couleur adaptée à vos humeurs et penchants) :

Ah oui.

Le tableau comporte d’autres zones présentant exactement les mêmes caractéristiques que ce qui vient d’être fait (fusion sur trois cellules et fond coloré). Je décide d’utiliser l’outil pinceau pour dupliquer mon modèle.

Je garde donc la cellule sélectionnée, puis je double-clique sur l’outil pinceau.

Il suffit ensuite de passer le pinceau sur toutes les cellules à modifier :

Attention, il ne faut passer que sur les cellules qui doivent être fusionnées ; c’est-à-dire uniquement ceci :

Une fois arrivé à la dernière ligne, je repose mon pinceau, en appuyant, par exemple, sur la touche « Echap » du clavier.

Il est donc nécessaire de recommencer la mise en forme (couleur de fond) pour les cellules individuelle. Commençons donc par celle-ci.

… vais chercher couleur…

Ah !! Mais ça ne va pas du tout !

Comment se fait-il que le fond ne vient pas sur toute la surface de la cellule ?

C’est une erreur classique : j’ai sélectionné – non pas la cellule, mais - le paragraphe qui se trouve à l’intérieur de la cellule.

Voilà pourquoi le menu « Tableau » de votre traitement de texte propose toujours l’option : « Sélectionner », qu’il faudra, dans notre cas, faire suivre par « Cellule ». N’hésitez pas à l’utiliser, cela vous évitera quelques déboires de ce type.

Vous pouvez comparer avec la précédente sélection, c’est bien la cellule qui est désormais sélectionnée :

Allez, vite fait, puisque nous avons déjà vu ça :

 couleur

 sélection du modèle + pinceau

 application du pinceau sur les autres cellules

C’est fini pour la mise en forme des cellules.

Je me place sur le dernier paragraphe, en dehors du tableau, je m’aligne à gauche, et je tape…

… et je tape la seconde ligne.

Bon.

Il se trouve qu’à présent, c’est cette première ligne, au-dessus du tableau, qui m’est rentrée dans l’œil.

Je trouve que ce texte ne se différencie pas suffisamment des en-têtes du tableau, placées juste en dessous.

Je réduis donc la taille de ce texte (après l’avoir sélectionné) :

Mais comment-elle apparue cette boîte dialogue caractère, ci-dessus ?

Si vous vous posez cette question, c’est que vous avez probablement zappé cette fonctionnalité très commode : le menu contextuel.

Et oui : les boutons des barres d’outils, la barre des menus, les raccourcis claviers… tout ça c’est bien commode, mais n’oubliez pas que votre souris vous permet de retrouver très facilement une multitude de commandes grâce au bouton droit de la souris (CRTL+Clic sur les souris des Mac).

C’est à l’aide, précisément, d’un clic droit que je vais désormais accéder aux propriétés de ce paragraphe :

Je décide d’augmenter l’espace « Après » : 7 millimètres.

Cela donne un peu d’air entre le titre et le tableau :

Ce problème étant réglé, voici que, désormais, ce sont les deux lignes du bas qui me troublent.

Je les sélectionne puis effectue à nouveau un clic droit de la souris afin d’accéder au menu contextuel / Caractère.

Je réduis la taille :

Important (pour la suite) : je désélectionne et le point d’insertion doit être placé n’importe où sur le premier paragraphe.

Clic droit à nouveau, afin de modifier les options de paragraphe.

Je veux décoller ces deux lignes du tableau : 5 mil suffiront.

Voilà pourquoi il était important de désélectionner les deux paragraphes et se contenter de placer le point d’insertion sur le premier. Sans cela, l’espace aurait été appliqué également au-dessus du second paragraphe ; ce qui non seulement aurait été disgracieux, mais aurait vraisemblablement provoqué la création d’une seconde page.

Inspection générale !

Ah, mais ce tableau présente de graves défauts. Manque flagrant de bordures à droite :

Et c’est à cause de quoi, ça ?

Alors là : aucune idée !

Vous faites comme vous voulez, mais moi, par rapport à ce genre de situations, j’ai adopté une approche personnelle qui me convient parfaitement : si, globalement, je passe moins de temps à réparer le défaut qu’à trouver la raison pour laquelle « c’est imparfait » ; je considère que la question du pourquoi est largement superflue.

Je le répète : cette conduite très empirique basée sur le principe de contournement s’applique à ce genre de situations (applications de bureautique, sur des fonctionnalités non fondamentales du programme). Loin de moi d’en faire une règle absolue en informatique.

Bon, ceci étant dit , je sélectionne une à une les cellules à corriger et j’applique à chaque fois une bordure de type « cadre » :

Voilà qui est fait :

Il est toujours intéressant de passer en mode aperçu, en cliquant sur ce bouton caractéristique en forme de loupe sur une feuille blanche (attention, d’autres boutons lui ressemblent beaucoup) :

Cette vue, nous permet de voir exactement le document tel qu’il sera imprimé. En cliquant sur les boutons en forme de loupe avec un signe + et un signe -, vous « zoomez » en agrandissement ou en réduction ; ce qui s’avère très commode pour vérifier votre travail.

Dans ce mode d’affichage, il est impossible de modifier quoi que ce soit. Si vous voulez revenir au mode classique de votre application, il faut fermer le mode aperçu, par ce bouton :

OpenOffice permet de basculer dans un autre mode de présentation, plus dépouillé que le mode ordinaire (sans les caractères invisibles, notamment) : il faut cliquer sur ce bouton « Éditer le fichier » :

Cela permet d’avoir une vue du document plus proche de celle qu’en aura le lecteur. L’intérêt par rapport au mode « Aperçu », c’est que, dans ce mode « Editer », il est possible d’apporter des corrections sur le texte :

Sur Word, l’équivalent de ce mode d’affichage s’appelle « Mode lecture » (via le menu affichage).

Nous aurons l’occasion de revenir sur les différents modes d’affichage.

 

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